La guerre aux agents infectieux
La lutte contre la Covid-19 a beaucoup emprunté à la rhétorique guerrière- «nous sommes en guerre » avait répété le président de la République. Aujourd’hui, l’après-crise sanitaire remet au premier plan les fondamentaux de l’hygiène et de la désinfection… comme pour vérifier l’adage romain « si tu veux la paix, prépare la guerre ».
Une arme conventionnelle pour la décontamination des units
Le duo IGN/Calbénium est un incontournable de la désinfection des circuits d’eau des units dentaires et du traitement de l’eau des sprays des porte-instruments rotatifs.
Thierry Rouleau, directeur général d’Airel-Quetin, docteur en pharmacie, a été soucieux de le remettre sur le devant de la scène à l’occasion des retrouvailles avec la profession lors du Congrès 2021 de l’ADF. Il l’a rappelé : « depuis 35 ans, il fait partie de notre carte de visite ». Allusion à l’époque où avec son frère ingénieur, il avait cherché une réponse opérationnelle à un autre séisme sanitaire, l’apparition du Sida, puis la découverte de l’ennemi à combattre, le VIH.
Avec la Covid-19, l’efficacité éprouvée et prouvée de l’IGN/Calbénium est incontestablement redevenue une évidence à souligner….
Intégré dans les units de la marque mais aussi disponible sous la forme d’un boîtier intégrable à toute installation existante, l’IGN réalise de manière automatisée la décontamination des circuits d’eau en continu et permet de réaliser un « reset bactériologique » hebdomadaire de l’installation dans son ensemble.
Côté produit, la solution de Calbénium est fabriquée à partir de composés « ultra-purs » pour une efficacité optimale.
Associée à l’IGN, elle circule en continu pour désinfecter l’eau de l’unit protégeant le patient, le professionnel et son assistant(e) des agents pathogènes présents dans cette eau – streptocoques, fongiques, virus… Est-il utile de préciser qu’IGN/Calbénium, dispositif médical de classe IIA répond à toutes les normes et que la R&D d’Airel-Quetin veille à chacune de leur actualisation ?
La défense aérienne grâce à la désinfection des surfaces
La contamination externe s’effectue par dispersions, vaporisation ou nébulisation autour de la zone de soins. Dans ce domaine, le choix d’Airel-Quetin a été de nouer un partenariat avec Oxy’Pharm, spécialiste de la désinfection automatisée des surfaces. Cette société française a développé Nocotech, système éco-responsable couplant une machine, Nocospray, et un produit désinfectant à base de peroxyde d’hydrogène, le Nocolyse+, qui possède un spectre d’efficacité complet, bactéricide, fongicide, sporicide et virucide (y compris sur la famille des coronavirus), conforme à la norme EN 17272.
Le Nocospray diffuse le Nocolyse+ sous forme de brouillard sec permettant de traiter des surfaces de 10 à 1 000 m3 : constitué d’une turbine chauffante ionisante, il transforme le produit en gaz qui ira au contact de 100% des surfaces de tout ce qui est présent dans le cabinet dentaire, même les surfaces électroniques, sans aucune corrosion. Le traitement est considéré biodégradable car il se décompose en eau et en oxygène.
Avec l’apparition du SARS-Cov-2, de nombreux chirurgiens-dentistes ont fait le choix de globaliser le traitement à toutes les surfaces présentes dans le cabinet y compris la salle de stérilisation, la salle d’attente et le bureau. Simplicité de la procédure, méthode, efficacité, la Covid-19 a fait exploser la demande de l’ensemble du secteur de la santé. Depuis, la course à l’armement s’est calmée mais les machines tournent à plein, dit-on du côté d’Oxy’Pham…