[Métier] Olivier, l’expérience au service des dépôts
Olivier a rejoint Airel en septembre 2002. Il s’en souvient avec précision et un sourire : « le 16 septembre 2002 ». Un premier emploi qu’il a toujours occupé et dans lequel il a énormément évolué. Il se rappelle encore ses débuts en tant que technicien itinérant, un poste où il parcourait la France pour intervenir sur les équipements. Aujourd’hui, 22 ans plus tard, il a pris une place centrale dans l’entreprise, toujours au plus près des dépôts.

« C’est important pour moi de transmettre mon savoir et mes compétences à travers les formations que nous dispensons. »
Dans le service Support Technique, ils sont trois. Olivier. est responsable technique des dépôts en France, en Europe et à l’international. À ses côtés, Ana gère les commandes et les demandes de pièces détachées, tandis que Didier est en charge du suivi et de la préparation des commandes. Une petite équipe, mais efficace et réactive. « Ce que j’aime, c’est qu’on est un vrai couteau suisse », explique Olivier. Un fonctionnement qui leur permet d’apporter des solutions rapidement et efficacement.
Un métier au cœur de l’assistance technique
Olivier est celui qu’on appelle lorsqu’un problème technique survient. Pour les dépôts, il est le « Super Tech à la rescousse ». Commande spécifique, question technique, matériel en panne… il analyse, résout et accompagne. Il vérifie également les retours de pièces détachées pour diagnostiquer les réparations possibles.
Avec son expérience, il joue aussi un rôle essentiel dans la formation des techniciens des dépôts sur les fauteuils Airel-Quetin. « Après 22 ans d’expérience, c’est important pour moi de transmettre mon savoir et mes compétences à travers les formations que nous dispensons pour les dépôts en France et à l’international. »
Lorsqu’on lui demande s’il a des journées « types » au cœur du service, il explique que si certaines missions sont récurrentes, aucune journée ne se ressemble vraiment. Un problème technique ne se traite jamais exactement de la même manière. Olivier est en lien régulier avec le Bureau d’Études, et grâce aux retours des dépôts, des innovations ont vu le jour. « On a pu mettre en place certaines améliorations en fonction des retours terrain. »
Même s’il se déplace moins qu’avant, il lui arrive encore d’être sur certains chantiers, notamment pour les premières installations de nouveaux dépôts. Une étape qu’il apprécie particulièrement, car elle lui permet de créer du lien. « J’aime ce contact humain. Pour moi, les dépôts ne sont pas juste des clients, ce sont des partenaires avec qui j’ai construit une relation au fil des années. »
Ce qui l’anime : aider et transmettre
« Rendre service. » Voilà ce qui motive Olivier au quotidien. Il aime apporter des solutions, accompagner les dépôts et entretenir une vraie relation avec eux. « Ce que j’aime, c’est l’échange. Et puis la reconnaissance des dépôts, c’est une vraie satisfaction. J’aime être utile, partager mes connaissances et apporter des solutions aux clients. »
Quand on lui demande une anecdote, Olivier sourit en repensant à un quiproquo linguistique avec un technicien belge. Lors d’un appel, ce dernier lui explique que « le fauteuil ne sait plus travailler ». Olivier, surpris, prend un instant avant de comprendre qu’il veut dire « le fauteuil est en panne ». « J’ai découvert que les Belges utilisent ‘savoir’ au lieu de ‘pouvoir’ pour parler d’une incapacité… On en rit encore aujourd’hui ! »
Mais ce métier, c’est aussi des défis techniques à relever. L’un d’eux s’est présenté un vendredi matin : un dépôt bordelais avait un problème mécanique bloquant l’utilisation d’un fauteuil. Impossible de le remettre en service sans changer tout le système du dossier. Olivier n’a pas hésité : il a préparé les pièces nécessaires et a pris la route dès lundi à 4h du matin pour être sur place. À 10h, il commençait la réparation, et à 12h, le fauteuil était de nouveau fonctionnel. Une course contre la montre qu’il a menée avec succès.

L’ADF : bien plus qu’un salon, un rituel !
Chaque année, Olivier participe au congrès de l’ADF. Depuis 22 éditions, il est là : d’abord en tant que technicien pour le montage du stand, puis en tant que responsable technique des dépôts.
L’ADF est l’occasion pour lui de retrouver les représentants des dépôts, mais aussi des connaissances du secteur. Il en profite pour réaliser des démonstrations, répondre aux questions techniques des clients et assister les commerciaux.
Si Olivier avait un message à adresser aux dépôts, ce serait celui-ci :
« J’essaie d’être le plus disponible et réactif possible… Le SAV, c’est de donner une réponse rapidement. »
Il reconnaît cependant que parfois, la charge de travail est importante. « Il m’arrive d’être très sollicité, j’aimerais pouvoir prendre plus de temps pour discuter avec certains dépôts, mais il y a beaucoup de demandes à traiter. » Il sait que cela peut parfois donner l’impression qu’il est pressé, voire peu disponible, mais son engagement reste intact : être à l’écoute et trouver des solutions pour chaque dépôt.
Pour Olivier, l’essentiel reste avant tout le lien qu’il entretient avec les dépôts et la satisfaction de pouvoir leur apporter son aide au quotidien.